…et en avance, (moi aussi !) Les bêtes à cornes et autres ruminants n’ont qu’à bien se tenir. Mardi, François Hollande va passer 10 heures au Salon de l’Agriculture, certainement pour un stage en immersion…Il paraîtrait qu’il aurait (conditionnel, vous aurez remarqué) quelques lacunes dans les vacheries. Une vacherie étant, bien sûr, une maison pour vaches…
The Artist ou l’Artiste si vous préférez, if you prefer… L’un est nominé pour les Oscars et l’autre est en tête dans les sondages. Mais juste derrière, personne n’a dit son dernier mot…
Il a baissé les bras, trop de difficultés à réunir les parrainages.
Il préfère donc taquiner le gibier à poil et à plumes et souhaite que ses « amis » (moins de 0,1 %) reportent leurs voix sur Nicolas Sarkozy…
Humain, il eût été philosophe ou analyste. Par chance Dieu l’a fait âne.
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La vache tient salon. Elle va voir défiler notamment nos chers candidats qui vont ici se trouver, se chercher, un profil rural. Dès potron-minet, Margueritte et ses amis ovins, caprins, porcins,…ont vu arriver le Président-candidat pour le petit-déjeuner. Lundi, François Hollande compte y rester 10 heures ! A 12 € l’entrée, il veut sans doute rentabiliser le billet…
Ils ne se sont pas volé dans les plumes. Antenne 2 avait pourtant tout calculé pour faire le BUZZ ! Le réprésentant du Front de Gauche était rouge… de colère, et celui du Front National n’était pas bleu de peur. Mais le choc n’a donc pas eu lieu. Tous en sont pour leurs frais. Les deux candidats ont perdu leur temps et nous aussi.
J’ai emprunté le titre à Maître Coluche qui, entre parenthèses, se complairaît bien de cette situation. « Produire français avec des travailleurs français est vital pour notre pays. » Cette phrase, honarable et pleine de sagesse, est de Marine Le Pen. Le problème est qu’elle-même n’applique pas ce concept à sa campagne et fait fabriquer ses T-shirt au Bangladesh. Elle qui donne des cartons rouges à tout le monde…mériterait l’expulsion du terrain.
Strauss Kahn ! croisement d’un musicien autrichien et d’un ex-rédac-chef de Marianne ? Non, bien sûr. Que n’a-t’on pas dit sur l’affaire, les affaires, non l’affaire DSK. Dire qu’il avait un boulevard devant lui pour les élections présidentielles ! Un boulevard avec des pu…des pros…des prostiputes…
Je ne résiste pas au plaisir de ressortir deux esquisses que j’avais réalisées à cette occasion.
Selon un article du Figaro, presque deux animaux sur trois abattus selon le rituel halal seraient ensuite vendus dans le circuit commercial classique. Cette surproduction du halal s’expliquerait principalement par les goût des consommateurs musulmans. Les abats et les pièces à bouillir seraient en effet particulièrement prisés alors que les parties basses seraient délaissées. Pour ne pas jeter les invendus ni repousser certains acheteurs, cette viande est proposée dans les rayons classiques des supermarchés.
Nous avons tous déjà mangé de la viande halal ou casher…
Les animaux, boeufs, moutons ou chêvres, sont égorgés pleinement conscients. Plusieurs minutes s’écoulent avant que la bête ne perde conscience. Cette coutume religieuse est valable autant pour la communauté musulmane que juive. Ils sont donc au moins d’accord sur un point … Egorgées et conscients les bêtes se débattent, le contenu des viscères vient au contact de la viande et la pollue.
Si vous avez le coeur bien accroché, allez sur wat.TV et visionnez la vidéo de GAIA.be et bon courage !
Surprenant, il n’y a pas eu de surprise. Après » Le changement, c’est maintenant » de François Hollande, ou le « Prenez le pouvoir ! » du Front de gauche, ou encore « La voix du Peuple » du FN, ou encore « Un pays uni, rien ne lui résiste » de François Bayrou, voici « La France forte » de Nicolas Sarkozy. Mais où vont-ils chercher tous ces slogans ?
Nous avions déjà eu « La force tranquille » de François Mitterand, et « Du sérieux, du solide, du vrai » de Raymond Barre. En 1928, aux Etats-Unis, Herbert Hoover avait choisi comme phrase de campagne: » A chicken in every pot, a car in every garage« , on était pas loin de la « Poule au pot » d’Henry IV. Si un candidat cherche une phrase pleine de bon sens, je lui propose: « Un cochon à la cheminée toute l’année, un grenier plein de pommes et une échelle pour y grimper«