Le chemin de croix de « cette habitée (en un seul mot) qui ne sait plus où elle habite » sera encore cette fois-ci sévèrement urnée avec un grand B. Il faudrait que nos grands électeurs, qui manquent d’humour, lui donnent leur signatures pour qu’elle puissent participer à cette campagne qui serait, ainsi, plus drôle. Je me mets à rêver d’un débat « Boutin, Joly, Le Pen (la fille de…bien sûr) et pourquoi ne pas penser à un triumvirat présidentiel fémimin…Vous voyez bien que je ne suis pas myso ! Quitte à être dans la crise, au moins que ce soit drôle! Pas longtemps, mais drôle… Bonne année, austérité !